dimanche 3 novembre 2013

Mangez, bougez

Mangez, bougez


"Chaque jour, c'est du bonheur à tartiner"
" Nous c'est le goût"
"Haribo c'est bon la vie"
Tout autant de slogans qui prônent les effets soi-disant  " bénéfiques " de la malbouffe qui est au 21 ème siècle devenue un lobi économique gigantesque.
Peu de personnes peuvent aujourd'hui affirmer avoir un régime alimentaire propre à eux-même contenant des produits sain, de bonne qualité, et surtout adaptés à leurs modes de vie. Les quelques personnes répondant "oui" à la question "mangez-vous sainement?" sont les adeptes de régimes idiots contenant des repas en poudre ou des quantités astronomiques de viande ( parce que dans la viande y a de la protéine et la protéine ça fait gonfler les muscles alors forcement si on mange que ça on deviendra super maigre et super musclé )
La publicité est coupable du développement de la malbouffe, les Slogans publicitaires tels que " trois produits laitier par jour" ne font que rendre indispensable  des produits qui n'ont rien à faire dans l'alimentation de l'homme, ainsi durant toute sa vie l'homme ne vas cesser de s'étonner de ses problèmes d'acné, de cancer, de ses dépressions nerveuses et des diverses problèmes articulaires et osseux qui l'assaillent à cause du méchant destin qui en a voulu ainsi. Si on prenait deux minutes avant d'avaler son Doliprane à se demander " pourquoi on va mal" on trouverait la réponse simple " Parceque tout ce qui se passe dans notre corps est du à ce qui y rentre " . Je pense qu'il parait évident que l'homme d'il y a 10 000 ans ne se nourrissait pas de Kit Kat ni de yaourt citron/pistache façon crumble de la Laitière, et que si il en avait trouvé un par hasard chez un macaque futuriste ayant ouvert une superette entre deux squelettes de Mammouth, il aurait vite été rattrapé par les effets néfastes que lui apportent des produits si peu adaptés pour son corps.
Avec un amis ( Théo Baijot ) nous avons considérablement changé notre alimentation depuis un peu plus d'un an, nous sommes passé par des phases inutiles comme je le disais plus haut, où on copiait le programmes cliché des sportif, avant de nous rendre compte qu'il n'y avait aucun régime type, mais uniquement des régimes alimentaires propres à chacun, en effet nous n'avons pas tous les mêmes besoins , les quantités et l'utilité de certains aliments peuvent varier en fonction de nombreux critères ( âge, poids, activité physique, métabolisme,) un homme va devoir consommer de plus grandes quantités de  graisses naturelles alors qu'un autre va devoir assimiler plus de sucres complexes car son métabolisme assimilera moins bien les graisses)
Nous avons donc décidé de faire une journée test, dans le but d'observer la réaction de notre corps , en mangeant exclusivement des produits non naturels à l'Homme ( Donuts, barres chocolatées, pizza, kebabs, produits laitiers ...)
dès le petit-déjeuner, l'excès de calories nous a donné des sensations dont nous n'avions pas ou plus l'habitude : nausée, ballonnements, tremblements, bouffées de chaleur, mal de tête.
Malgré ça nous avons décidé de continuer et 2 heures plus tard pour le déjeuner nous prenions la route pour  B&C, le fameux marchand de sandwich et burger dont la diabolique et cruelle qualité n'ont fait que rajouter l'angoisse à notre aventure. Pour faire les choses bien, nous avons pris le sandwich le plus cher le plus gros et le plus calorique nommé le "grand bleu" (sans doute pour atténuer le côté malsain des ingrédients qu'il contient) : pain, 2 œufs, 1 cordon bleu, 1 steak haché, 2 galettes de pommes de terre, oignons ( vous noterez le choix assez audacieux des ingrédients) accompagné de sa barquette de frite rechargeable  à volonté et de son soda. Le repas se déroule assez bien, l'ambiance est assez chaleureuse, d'un côté les cris démoniaques d'un bébé n'ayant malheureusement juste le droit de regarder son père dévorer le terrible burger avec des steaks contenant à peu près autant de bœuf que moi, de l'autre une serveuse excitée qui semble adorer son métier ainsi que les énormes tâches d'huile qu'elle a sur son tablier, le tout dans une douce odeur d'huile de friture dont on peine à dire si elle provient d'un champ de tournesol ou du moteur d'une vielle Renault Diesel.
 C'est a mi Grand Bleu que les choses se corsent, alors que la faim me tenait encore fermement, une puissante envie de vomir me traverse le corps, les cris incessant du nourrisson me donne une subite envie de pleurer et la seconde d'après une sensation d'étouffement et d'angoisse s'emparent de moi. Après une pause de deux minutes, tout est rentré dans l'ordre comme si rien ne s'était passé, je peux finir mon délicieux repas en regardant mon copain d'en face se débattre avec autant de mal que moi sur son cordon bleu restant.
La dernière frite avalée nous sortons sans plus attendre du snack, les 10 minutes de marche sont assez désagréables, le ventre ballonné semble pourtant vide et la sensation de faim se débat avec celle de vomir, ma vision est décalée, et tandis que tout le monde serre fermement sa doudoune je me sens crouler sous une chaleur insupportable.
 En attendant le repas du soir ( accompagné de grignotages en tout genre ), notre humeur ne cesse de changer, nous passons par des crises de rires, des excès de colère, blasés puis la minute d'après heureux. Arrivé au repas du soir une envie de pizza se fait sentir, nous allons donc au temple de la pizza Aixoise où l'on peut y trouver pour des prix assez abordables de jolies pizzas diététiques contenant à la fois emmental, crème fraiche, fromage de chèvre et miel ( le miel servant sans doute à relever le goût un peu fade du reste)
Le repas du soir n'apporte pas d'autres souffrances étant donné que nous les cumulons déjà toute, il ne nous rassasie par pour autant non plus, c'est pour ça que nous l'agrémentons de quelques sucreries et pâtes à tartiner pour terminer la soirée.
Le bilan final est d'approximativement 8000 calories ingérées en 1 jour
Le lendemain matin au réveil alors qu'on pensait le cauchemard fini nous découvrons d'autre surprises assez inquiétantes : une pluie de pellicules envahissant nos cheveux, un cliquetis d'articulation craquantes et une odeur de friteuse envahissant la pièce.
Une journée de parkour étant prévue à Miramas nous décidons donc d'aller nous entrainer malgré notre fatigue venue d'on ne sait où étant donné que les deux jours d'avants avaient été des jours de repos. L'entrainement  se déroule d'une façon désastreuse, aucune puissance musculaire, aucun contrôle, douleurs à toute les articulation dont certaines empêchant des gestes basiques comme une traction ou une flexion, transpiration abondante (dont l'odeur rappelle étrangement celle du sandwich mangé la veille), moral changeant, mal de tête.
Afin de mieux décrire les effets de ces deux journées, nous avons décidé de dresser une liste des effets ressentis:
-Nausée
- maux de têtes
-fatigue musculaire
-sauts d'humeur 
-désorientation
-faim continue
-ballonnements
-bouffée de chaleur
- tremblement
-douleurs articulaires et musculaires (avant, pendant et après l'effort)
- vision réduite
-sensation de dépendance au sucre et au gras
- palpitation continues
- fourmillements
- pics de faim alternés avec des pics de nausée     
- monté d'adrénaline
- mal aux dents ainsi que dépôts de tartre
-prise de masse grasse rapide
-angoisses
-courbatures
- transpiration abondante
-pellicules
- trouble du sommeil
-tête qui tourne
 -manque d'équilibre
-manque d'endurance
-respiration accélérée
En écoutant notre corps, nous avons su directement que nous étions en surplus de toxines, et qu'il était vital de les évacuer rapidement, c'est pour ça que nous avons jeûné une journée complète et choisis d'avoir une alimentation peu calorique contenant principalement des fruits et légumes les jours suivants.
Il est intéressent d'observer que des comportements peuvent changer, que nos sens sont altérés en fonction de la nourriture que l'on consomme, aujourd'hui il parait normal pour que  ces produits soient essentiels à notre vie, il font partie d'une facilité et d'automatismes imposés par la société où quand on est fatigué il faut manger des produits caloriques, où lorsqu'on a trop de boutons il faut se passer de la petite pommade magique et quand on est de mauvaise humeur il faut aller voir quelqu'un qui a fait d'énormes études pour comprendre pourquoi tu fais du boudin et en te donnant la pilule qui t'empêchera peut être mais c'est pas sûr de te pendre à une corde. Alors que la société devient de plus en plus dépendant de ce genre de produit, il suffirait juste d'être à l'écoute de notre corps et de savoir quoi lui donner et quoi lui enlever.
On est ce qu'on mange...                                                       
Article réalisé par Julien Martin et Théo Baijot  

jeudi 8 août 2013

Qui remportera le trophée " Parkour" ?




" quelqu'un l'a déjà fait celui-là ?"
          " oui, mais à un pied je crois"
          " ok, je vais voir si je peux le faire à deux alors"
 
Telles sont les discutions devenues fréquentes dans les rassemblements de parkour depuis quelques années.

En fait, quel est l'intérêt d'un rassemblement si personne n'est là pour apporter le spectacle que réclame un tel dans un coin entrain de commenter, et un tel, venu exprès car LE "traceur" à la mode a bien voulu faire acte de présence afin de montrer de quoi il est capable, sur un spot devenu célèbre.
Je pourrais dire que je regrette l'ancien temps, où les sessions parkour donnaient lieux à des échanges intéressantes, où chacun apportait son expérience, où parcourir en groupe des centaines de mètres en équilibre sur une barre prenait tout son sens, malheureusement, traceur depuis 5 ans, je n'ai eu l'opportunité de voir que des rassemblements où ces défis physiques, devenues futilités, ont laissé place à un désir de repousser continuellement ses limites, aller chercher plus loin que l'autre, la modestie écrasée par la surenchère et le spectacle.

Lorsque quelqu'un me demande ce qu'est le parkour et que sa curiosité dépasse les explications que je peux lui donner, en rentrant chez lui il va automatiquement se diriger vers sont ordinateur afin de regarder des vidéos pour essayer de mieux comprendre la discipline, il va alors tomber sur des  vidéos qui ne vont avoir aucun rapport avec le parkour, les "best of compilation" "X-trême Gravity" et autres compétitions en tout genre vont s'imposer sur des vidéos beaucoup plus enrichissantes, où les vraies valeurs y sont défendues et démontrées.
Ces vidéos, montages de "gros sauts" pour la plus part effectués sans contrôle et sans respect du corps, où les bases et les mouvement essentiels du parkour y sont troqués pour des mouvements superflu, ont pour but d'impressionner, de rassembler en une vidéo le meilleur des meilleurs...

Ayant vue ces vidéos, le point de vue de cette personne va immédiatement changer, les belles paroles racontées avec un jolie sourire et un air convainquant quelques heures plutôt par un jeune traceur vont vite être oubliées, les images de ces jeunes sautant de toits en toits en salto avant, avec pour couronner le tout une petite partie finale consacrée aux acrobaties ratées, vont immédiatement donner une opinion négative de la discipline.

J'entends ces traceurs se plaindre d'un rejet de la discipline par la police, par les gens, et je les vois publier ces vidéos où l'on parle de "partage" sans savoir même pourquoi, juste avant d'aller lancer un salto de plus que le précédent qui prononçait le même discours dénué de sens devant la caméra.
Comment la discipline peut-elle être un jour acceptée alors même que les vidéos de compétitions pleines de "blabla" ne font qu'éteindre les paroles déjà devenues lointaines de celui qui a crée la discipline et de ceux qui se sont battus pour la protéger?

J'entends ces "acrobates" dire entre deux pom pom girls " Mais la compétition, c'est une mise en situation" depuis quand une situation réelle s'apparente à des filles agitant des rubans  autour d'un commentateur idiot qui crie les exploits de vedettes se déplaçant à travers un spot construit deux heures plus tôt et dont la liberté de mouvement est elle aussi proscrite,  échangée par un "parcours imposé". Combien de ses traceurs seraient véritablement prêt dans une situations réelle? si on la définit par un "3,2,1 GO! " alors aucun d'entre eux n'en serait vraiment capable.

J'entends ces fans, ne bougeant que dans l'espoir de rencontrer la vedette, le groupe à la mode, qui a fait ses preuves dans tel ou tel rassemblement, dans tel ou tel pays. Comment peut-on continuer à partager, à apprendre de personnes capables de payer pour le "workshop" de ce "traceur" assez malin et prétentieux pour faire payer cette poignée de fans dont les discutions ne s'élève pas plus haut que le dernier saut de fond que ce héro a réussi à faire en salto avant.

Si l'on devait alors décrire le parkour avec un mot tel qu'il est en 2013, ce serait la "performance", le courage et l'audace font la réputation, il est alors pathétique de voir ses sois-disant athlètes se débattre avec rage pour effectuer une simple planche après avoir lancé un saut de bras de 18 pieds.
combien de ces athlètes prennent le temps de travailler leurs physique, combien ont déjà faillis vomir après avoir enchainé le maximum de pompes et combien se sont déjà demandé combien de temps ils pourraient tenir suspendus à cette branche, car le vrai courage ce n'est pas essayer d'affronter ce gigantesque saut de chat presse derrière les acclamations du public, le vrai courage est de s'affronter soi-même.



Le plus important aujourd'hui est de défendre les valeurs qui nous ont poussé à commencer, ces valeurs qu'une poignée de personnes se sont donnés du mal à créer, et que beaucoup aujourd'hui détruisent avec facilité. Si rien est fait, le parkour deviendra d'ici peu un simple outil de commerce, le nouveau sport extrême à la mode qu'on verra au côté du breakdance dans les clips de Nicki Minaj. Le plus important est que la minorité qui défend aujourd'hui ces valeurs, cette culture de l'effort, soit toujours présente afin de les partager, quelle qu'en soit l'issue, l'important est qu'il y ai toujours quelqu'un pour défendre cette discipline qui nous a été léguée, sans jamais rien abandonner.

Qui remportera le trophée "parkour" ?

                                  Qui remportera le trophée "parkour" ?




" quelqu'un l'a déjà fait celui-là ?"
          " oui, mais à un pied je crois"
          " ok, je vais voir si je peux le faire à deux alors"
 
Telles sont les discutions devenues fréquentes dans les rassemblements de parkour depuis quelques années.

En fait, quel est l'intérêt d'un rassemblement si personne n'est là pour apporter le spectacle que réclame un tel dans un coin entrain de commenter, et un tel, venu exprès car LE "traceur" à la mode a bien voulu faire acte de présence afin de montrer de quoi il est capable, sur un spot devenu célèbre.
Je pourrais dire que je regrette l'ancien temps, où les sessions parkour donnaient lieux à des échanges intéressantes, où chacun apportait son expérience, où parcourir en groupe des centaines de mètres en équilibre sur une barre prenait tout son sens, malheureusement, traceur depuis 5 ans, je n'ai eu l'opportunité de voir que des rassemblements où ces défis physiques, devenues futilités, ont laissé place à un désir de repousser continuellement ses limites, aller chercher plus loin que l'autre, la modestie écrasée par la surenchère et le spectacle.

Lorsque quelqu'un me demande ce qu'est le parkour et que sa curiosité dépasse les explications que je peux lui donner, en rentrant chez lui il va automatiquement se diriger vers sont ordinateur afin de regarder des vidéos pour essayer de mieux comprendre la discipline, il va alors tomber sur des  vidéos qui ne vont avoir aucun rapport avec le parkour, les "best of compilation" "X-trême Gravity" et autres compétitions en tout genre vont s'imposer sur des vidéos beaucoup plus enrichissantes, où les vraies valeurs y sont défendues et démontrées.
Ces vidéos, montages de "gros sauts" pour la plus part effectués sans contrôle et sans respect du corps, où les bases et les mouvement essentiels du parkour y sont troqués pour des mouvements superflu, ont pour but d'impressionner, de rassembler en une vidéo le meilleur des meilleurs...

Ayant vue ces vidéos, le point de vue de cette personne va immédiatement changer, les belles paroles racontées avec un jolie sourire et un air convainquant quelques heures plutôt par un jeune traceur vont vite être oubliées, les images de ces jeunes sautant de toits en toits en salto avant, avec pour couronner le tout une petite partie finale consacrée aux acrobaties ratées, vont immédiatement donner une opinion négative de la discipline.

J'entends ces traceurs se plaindre d'un rejet de la discipline par la police, par les gens, et je les vois publier ces vidéos où l'on parle de "partage" sans savoir même pourquoi, juste avant d'aller lancer un salto de plus que le précédent qui prononçait le même discours dénué de sens devant la caméra.
Comment la discipline peut-elle être un jour acceptée alors même que les vidéos de compétitions pleines de "blabla" ne font qu'éteindre les paroles déjà devenues lointaines de celui qui a crée la discipline et de ceux qui se sont battus pour la protéger?

J'entends ces "acrobates" dire entre deux pom pom girls " Mais la compétition, c'est une mise en situation" depuis quand une situation réelle s'apparente à des filles agitant des rubans  autour d'un commentateur idiot qui crie les exploits de vedettes se déplaçant à travers un spot construit deux heures plus tôt et dont la liberté de mouvement est elle aussi proscrite,  échangée par un "parcours imposé". Combien de ses traceurs seraient véritablement prêt dans une situations réelle? si on la définit par un "3,2,1 GO! " alors aucun d'entre eux n'en serait vraiment capable.

J'entends ces fans, ne bougeant que dans l'espoir de rencontrer la vedette, le groupe à la mode, qui a fait ses preuves dans tel ou tel rassemblement, dans tel ou tel pays. Comment peut-on continuer à partager, à apprendre de personnes capables de payer pour le "workshop" de ce "traceur" assez malin et prétentieux pour faire payer cette poignée de fans dont les discutions ne s'élève pas plus haut que le dernier saut de fond que ce héro a réussi à faire en salto avant.

Si l'on devait alors décrire le parkour avec un mot tel qu'il est en 2013, ce serait la "performance", le courage et l'audace font la réputation, il est alors pathétique de voir ses sois-disant athlètes se débattre avec rage pour effectuer une simple planche après avoir lancé un saut de bras de 18 pieds.
combien de ces athlètes prennent le temps de travailler leurs physique, combien ont déjà faillis vomir après avoir enchainé le maximum de pompes et combien se sont déjà demandé combien de temps ils pourraient tenir suspendus à cette branche, car le vrai courage ce n'est pas essayer d'affronter ce gigantesque saut de chat presse derrière les acclamations du public, le vrai courage est de s'affronter soi-même.



Le plus important aujourd'hui est de défendre les valeurs qui nous ont poussé à commencer, ces valeurs qu'une poignée de personnes se sont donnés du mal à créer, et que beaucoup aujourd'hui détruisent avec facilité. Si rien est fait, le parkour deviendra d'ici peu un simple outil de commerce, le nouveau sport extrême à la mode qu'on verra au côté du breakdance dans les clips de Nicki Minaj. Le plus important est que la minorité qui défend aujourd'hui ces valeurs, cette culture de l'effort, soit toujours présente afin de les partager, quelle qu'en soit l'issue, l'important est qu'il y ai toujours quelqu'un pour défendre cette discipline qui nous a été léguée, sans jamais rien abandonner.